Comment fonctionne le photorésistance ?
La photorésistance est une invention qui s’est avérée extrêmement utile pour éviter de gaspiller de la lumière électrique lorsqu’elle n’est pas utilisée. Elle est le plus largement utilisé dans l’éclairage public et c’est la raison pour laquelle les lumières sont éteintes pendant la journée et allumées la nuit.
Dès lors, pour vous aider à mieux savoir sur la photorésistance, nous allons développer les points suivants dans notre contenu :
- la définition de la photorésistance ;
- le fonctionnement d’une photorésistance ;
- les applications de la photorésistance.
Qu’est-ce que la photorésistance ?
Une photorésistance ou LDR par l’abréviation en anglais light-dépendent résistance, est un type de résistance qui varie en fonction de la lumière qui frappe sa surface.
En effet, plus la résistance est moindre, plus la lumière affecte la photorésistance et plus la résistance est grande moins la lumière affecte le matériel. En outre, la photorésistance se compose d’une cellule photoréceptrice et de deux pattes.
Comment fonctionne une photorésistance ?
Le fonctionnement de la photorésistance est basé sur sa composition, qui est le sulfure de cadmium (CdS). Ce composant peut changer sa résistance en fonction de la quantité de lumière reçue même en prenant compte du fonctionnement découpeur plasma. Dès lors, la photorésistance n’est pas exposée au rayonnement lumineux.
En effet, les électrons seront très bien connectés dans les volumes qui composent la photorésistance, mais dès que le rayonnement lumineux affecte la photo réserve, cette énergie libère des électrons. Ainsi, le matériau devient plus conducteur et diminue la résistance.
En conséquence, les photorésistances ne font que réduire leur résistance à un rayonnement lumineux qui est dans une certaine gamme de longueur d’onde.
Les applications de la photorésistance
Les photorésistances sont souvent utiles dans la détection de flux. Elles sont aussi utilisées pour mesurer de façon beaucoup plus précise le niveau de flux reçu à savoir : la variation d’éclairage et les impulsions lumineuses par exemple.
Rappelons que selon la composante (semi-conducteur) de la photorésistance, le type de rayonnement détectable peut varier. Par exemple, on peut citer les photorésistances avec du sélénium de cadmium qui aident à détecter les rayonnements proches. Par contre, celles avec l’oxyde de zinc aident pour la détection d’un rayonnement UV.
Selon l’utilité et les domaines d’applications, on peut citer les types de photorésistances suivantes :
- Les photorésistances à détection d’infrarouges ou de rayons UV.
- Les photorésistances à détection de présence.
- Photorésistances réceptrices d’infrarouges pour mettre en contact deux appareils à distance.
- Les photorésistances pour l’éclairage lorsque l’intensité de la lumière diminue. Utilisé pour l’éclairage public ou domestique.
- Les photorésistances pour mesurer la lumière extérieure dans les ordinateurs ou les appareils photographiques.
En somme, nous venons de découvrir ci-dessous l’importance que revêt la photorésistance dans l’avancée technologique ces dernières années. Par ailleurs, si vous cherchez à en savoir davantage ou à avoir d’autres composants électriques de haute qualité, visitez tme.eu où vous pouvez choisir parmi plus de 500 000 produits disponibles.