Dans quel cadre peut-on effectuer un test de paternité ?
De nos jours, il est possible de prouver la filiation paternelle par le test ADN. C’est une procédure qui est fortement encouragée pour les cas de paternités douteuses constatés en dehors des liens du mariage, lorsque le père présumé n’a pas encore consenti à reconnaitre l’enfant à naitre ou le nouveau-né comme le sien. En dehors du père présumé, cette action peut également être intentée par l’enfant lui-même jusqu’à sa vingt-huitième année, par celui qui le représente légalement ou encore par sa mère suivant les différents cas.
En cas de doute sur la filiation d’un enfant à naitre
Il arrive malheureusement que des doutes s’installent dans les couples. L’homme la plupart du temps peut ne pas être convaincu de sa paternité. Dans ce cas, le législateur prévoit un recours via le test de paternité durant la grossesse. Le test va consister en une comparaison entre l’ADN fœtal prélevé à partir d’un échantillon sanguin de la mère et l’ADN du présumé père. Cette technique simple permet d’obtenir des résultats fiables en toute sécurité pour la mère et l’enfant à naitre. Il est nécessaire que cela se fasse dans le cadre d’une procédure légale, faute de quoi, la légitimité du test pourra être remise en cause. Retrouvez plus d’infos sur ce site, afin de pouvoir prendre une décision éclairée.
En cas de contestation d’un lien de filiation
Il est courant que les querelles de succession débouchent sur une contestation du lien de filiation d’un ou plusieurs enfants avec le défunt père. Ce sont des moments difficiles à vivre, dont la durée peut être raccourcie si les uns et les autres acceptent de se soumettre à un test d’ADN. Pour votre style de vie et surtout pour préserver l’équilibre de la cellule familiale, c’est une épreuve à laquelle il peut être nécessaire de se soumettre. Toutefois, cela devra impérativement se faire dans le cadre d’une procédure juridique clairement initiée par le tribunal compétent.