Agent immobilier : focus sur la commission de vente immobilière
Un agent immobilier est surement la personne la plus habile pour traiter toute activité relative à l’opération immobilière. Doté d’une excellente qualité relationnelle et commerciale, c’est avant tout un fin connaisseur du domaine.
Les qualités d’un bon agent immobilier
Un agent immobilier digne de confiance prime la satisfaction du client au rendement commercial. Il lui faut une parfaite connaissance du marché foncier aux alentours de la ville où il exerce son métier. Maitriser les techniques d’estimation ainsi que les commissions applicables sont d’un grand atout ! Qu’il travaille seul ou en équipe, il doit ménager sa force et son savoir-faire pour répondre au besoin réel de la clientèle. Arrangez d’une toile comportant la meilleure qualité de bien sur tous les plans, lui fera démarquer de ses concurrents. Le meilleur agent immobilier tient garant d’une valorisation à termes de l’investissement foncier ainsi que de la qualité de vie. Par conséquent, chacun des projets auxquels il prend part aboutit à un résultat notable. Pour couronner le tout, il est au service de tout client ayant un projet immobilier à réaliser, quel que soit le budget dont dispose celui-ci. Un employé immobilier sera l’interlocuteur unique pour l’achat d’un appartement, de villa, de local commercial, de centre médical, d’hôtel, de résidence service et d’autres.
Quelles informations doit-il détenir ?
Un agent immobilier digne de ce nom se doit de renseigner ses clients au maximum. Il est tenu de dévoiler toutes les informations relatives au marché foncier local. À savoir, le prix de vente et de location, ainsi que d’éventuelles évolutions. Ce montant varie de manière considérable d’une ville à une autre. C’est pourquoi il faut savoir le prix moyen national. Ainsi, le client pourra facilement vérifier à quel point la valeur du bien est cohérente avec le marché local. Cela relève d’une honnêteté de la part de l’agent immobilier. Aussi, il doit être à la page de la variation de l’offre et de la demande. Cela permet d’étudier la disponibilité de l’offre pour adapter la stratégie marketing. Il existe bien d’autres informations précieuses à connaitre, si ce n’est que le prix des terrains, les impôts locaux et impôt foncier, le coût des travaux de construction, entre autres.
Focus sur les commissions immobilières
D’une manière générale, tout agent immobilier est libre de fixer ses propres mandataires, conformément à ce que stipule une loi élaborée en 1986. Cela dit, il faut tout de même respecter certaines conditions, à commencer par la transparence des délégations. En effet, chaque cabinet doit communiquer au grand public les commissions qu’il pratique, tout en étant clair et concis. D’ailleurs, cette information doit être visible sur sa vitrine ou sa porte d’entrée. D’un autre point de vue, les agents immobiliers qui se respectent alignent leur tarif avec la tranche majoritaire du marché. La majorité des acteurs fonciers proposent une commission de 3 à 10 %, tandis que la nette concentration est comprise entre 3 et 8 %. Toutefois, ce salarié immobilier étudie la valeur du bien pour appliquer ce pourcentage. Autrement dit, la commission diminue en fonction de l’importance de la valeur marchande du bien. Sur cette base, on évalue une tranche de commissions moyennes de 6 à 8 % au niveau national. À titre d’exemple, pour immobilier dont le prix d’achat ne dépasse pas le 150 000 €, la commission est estimée à 5 ou 6 %.
Vente immobilière : ce qu’il faut savoir
Dans le cadre d’une vente de bien, une évaluation immobilière est requise. Toujours faut-il que ce soit juste et précis ? Pour ce faire, le vendeur doit choisir entre l’estimation par comparaison et celle par capitalisation de revenus. La première méthode étant la plus pratiquée. Ici, on doit étudier les caractéristiques du bien en vente, de manière à le comparer à un autre. Puis, il ne reste plus qu’à indexer son prix sur celui de son semblable. Les principaux critères à considérer sont la dimension, la structure et la localisation. La deuxième technique consiste quant à elle à calculer la valeur du bien au vu de sa valeur locative cadastrale. Dans la plupart du temps, cette technique s’applique au bien mis en location. Si le bien est destiné à la revente, on étudie son prix à partir de la plus-value qu’il génèrera. Peu importe le mode d’évaluation choisi, l’assistance d’un agent immobilier fiable et expérimenté ne vous conteste pas.
Visitez aussi cet article, le marché de l’immobilier en France.