Discours d’hommage pour un enterrement : les 8 règles d’or
La perte d’un proche est toujours une période difficile, un temps hors du temps où on se sent dépassé par les événements. Les différentes démarches pour les obsèques empêchent de commencer à faire le deuil. Il est préférable de confier ces préparatifs à des professionnels, à un service de pompes funèbres.
Quelles sont les 8 clés pour réussir un discours d’hommage à un proche :
Ce n’est jamais facile de faire face à la disparition d’un proche. Entre préparer les obsèques et faire son deuil, on a l’impression de vivre au ralenti. Votre service de pompes funèbres à Pierrelatte sur https://pompes-funebres-donzere.fr/pompes-funebres-pierrelatte/ se propose d’alléger vos soucis administratifs dans les préparatifs des obsèques, avec professionnalisme et en toute discrétion, dans le respect total de votre douleur. Il prodigue également des conseils avisés pour réussir un discours d’hommage à un proche.
Il est conseillé de bien préparer le discours, au moins une journée avant l’enterrement. Pour cela, il est préférable de s’entretenir discrètement avec le maximum de personnes qui l’ont côtoyé pour dresser son profil. À cela s’ajoutent les propres connaissances du rédacteur. Ainsi, le discours sera adapté à la personnalité du défunt. Le ton sera alors sérieux, triste ou avec un soupçon d’humour, suivant le tempérament du disparu. Vous pouvez recourir l’aide du service des pompes funèbres à Pierrelatte ou non, pour ce faire.
Durant la préparation du discours, le locuteur doit aussi avoir en tête la personnalité de son auditoire. Les propos doivent faire passer un message fort et émouvant à une assistance réceptive. Des paroles peuvent choquer ou émouvoir. Dans tous les cas, les personnes présentes doivent se sentir concernées par le discours.
Le choix du pronom personnel est important pour intégrer les assistants dans le discours. Ainsi, il est conseillé d’utiliser la première personne du pluriel « nous ».
Pendant les funérailles, il est conseillé de mettre en avant les qualités et les bons souvenirs liés au défunt. Raconter les obstacles qu’il a dû franchir pour réussir dans la vie, qui mettra en relief sa bravoure, sa ténacité, sa passion est également une excellente idée. C’est un dernier hommage et la famille souhaite garder une bonne image du disparu.
Lorsque le rédacteur détient toutes les informations nécessaires, il est temps de rédiger. Un discours d’hommage à un proche contient une introduction, un développement et une conclusion. Le ton doit être déterminé dès l’introduction, grâce à une phrase bien accrocheuse, une citation, un dicton ou un souvenir précis. Dans le corps du discours, il est préférable de le remplir aussi d’anecdotes et de souvenirs. À la conclusion, on reprend et confirme les sentiments douloureux liés à la perte du proche.
Pour se mettre à l’aise et émouvoir l’assistance, il est conseillé de faire passer la musique préférée du défunt, ou bien son poème favori.
Pour réussir le discours, il est également crucial de soigner son élocution. Pour cela, il est conseillé de s’entrainer, devant le miroir ou devant un proche. Il faudrait donner l’air d’improviser un discours qui a pourtant été bien préparé.
Dans ce même ordre d’idées, il est recommandé de bien aérer le texte pour ne pas se tromper de ligne lorsqu’on fait face à l’assistance. Le cas échéant, il ne faut surtout pas paniquer, mais reprendre son souffle avant de revenir dans le texte.
La personne qui rend un dernier hommage à un proche par un discours est souvent un ami proche ou même un membre de sa famille qui lui est proche. Dans ce dernier cas, il est souvent assez difficile de terminer la locution jusqu’à la fin, face au lien fort qui a marqué la relation entre les deux personnes. Il arrive aussi que la famille choisisse une personne neutre, pas forcément proche du défunt, pour faire un bref récapitulatif de sa vie, de ses parcours ou encore présenter sa famille proche. Dans le cas d’une personne âgée par exemple, on peut parler de ses enfants, du nombre de ses petits enfants et de ses arrières petits enfants. Raconter comment elle était avec eux, les paroles de sagesses qu’elle aimait leur dire…mais aussi ses rêves, les voyages qu’elle a effectués, ses passe-temps, etc.